Les leçons d’une défaite
mercredi 19 janvier 2011, par
Cette apport, après le mouvement contre la réforme des retraites de 2010, complète celui de Pierre Bance, durant le mouvement "Ce n’est pas le moment de désespérer"(http://www.fondation-besnard.org/article.php3?id_article=1071)
Je suis d’accord à 90 % avec Alain Bihr. Il me semble que de même que Sarkozy-Fillon représentent l’obéissance et la fidélité au néo libéralisme international, l’ensemble des syndicats ont en gros fait passer la pilule en déplaçant le raslbol et la combativité de la base vers les élections présidentielles de 2011. Donc un vote PS.
Comme le suggère Alain Bihr, c’est toute la logique et la stratégie syndicale de miser sur les élections qui est absurde, parce qu’elle occulte le vide de propositions de changement social. Une approbation de fait des réformes imposées par Sarkozy-Fillon.
C’est une autre vie à concevoir dans un autre cadre, l’utopie destructrice étant de continuer à demander des réformes profondes dans une société qui est conçue pour n’en point donner.
Frank Mintz 18.01.2011
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