Pas de répression pour Hélène !

La « mutation dans l’intérêt du service » dans l’Éducation nationale, et ici dans le secteur de Bobigny, me semble toujours suspecte.

Pourquoi ?

Elle est toujours politique : à Dourdan, en 1971 , deux professeurs titulaires d’Éducation physique et sportive ont été envoyés dans l’Est de la France pour des raisons politiques.

Une collègues d’anglais, incompétente dans sa matière, a bousillé des années durant ses élèves.

Au lycée Vilgénis à Massy, Mademoiselle Nicolas a magnifiquement desservi sa matière (l’anglais également) durant 15 ans, en gros de 1973 à 1988, jusqu’à sa retraite. Elle était harcelée par les Corses de l’Éducation nationale et elle devait mettre ses copies à corriger dans un coffre dans sa banque, car ils entraient en voler chez elle.

Bien entendu, elle se plaignait auprès des élèves, les uns étaient scandalisés, les autres se moquaient d’elle, le dernier tiers perdait son temps.

Les parents d’élèves protestaient, l’administration aussi, modérément, un inspecteur venait et Mademoiselle Nicolas était brillante et oubliait les Corses. Et elle reprenait ses élucubrations.

Elle aurait fait allusion avec autant d’ardeur à un leader de la droite ou de la gauche, elle aurait été harcelée par les Corses bien loin de Vilgénis.

Et le collègue de mathématique, un temps de plus saoul chaque matin !

Et le proviseur, spécialiste des rendez-vous à 7 h 30 et du contrôle des véhicule à l’entrée du lycée et de la "guerre civile" menée avec succès contre un intendant.
Un beau spécimen exempté de « mutation dans l’intérêt du service ».

Merci à Blanquer et ses équipes pédagogiques, vos conneries et votre merde sont à la hauteur de vos prédécesseurs pour décérébrer les enseignés et les enseignants.

Mais vous les dépassez en travaillant pour l’enseignement privé, je suppose que c’est rentable du côté de vos revenus !

Frank Mintz, 12.03.21